bâtiment typique dans le parc de Nikko.

Nikko en une journée depuis Tokyo : c’était waw !

Japon - 24/01/2024

J’ai adoré Nikko.

Ok, j’ai adoré TOUT mon voyage au Japon (ce pays est incroyable !). Chaque nouvelle visite découvre une nouvelle facette de ce pays : Tokyo tout en contraste, Osaka et son style rétro-futuriste, Kyoto qui donne l’impression de voyager dans le passé, …

Et puis il y a eu Nikko…

Comment décrire Nikko ? Une petite bourgade nichée au pied de montagnes. La ville ne paie pas de mine au premier abord.

Il faut quitter la gare, et avancer vers le torrent qui la traverse. C’est là que la visite commence : vues incroyables, sanctuaires historiques, nature, …

Un proverbe japonais dit “Ne dites pas magnifique avant d’avoir vu Nikko”.

La couleur est donnée.

Si une journée est un peu court pour profiter pleinement des lieux, on a tout de même le temps de faire les visites principales.

Sanctuaire de Nikko. Des bâtiments richement décorés en pleine forêt.

Note : Cet article contient des liens d’affiliation. Si vous effectuez un achat via ces liens, je touche une commission, et c’est évidement sans coût supplémentaire pour vous !

Que faire en 1 jour à Nikko (depuis Tokyo)

  • Admirer le pont Shinkyo
  • Visiter le sanctuaire Tosho-gu et admirer le faste de ses éléments
  • Entrer à l’intérieur d’une Pagode
  • Passer sous la porte la plus décorée du Japon
  • Voir le bas-relief des 3 singes de la sagesse
  • Visiter le mausolée du premier shogun de l’ère Edo
  • Écouter un dragon gronder dans le hall du dragon
  • Compter les statues le long de l’abysse de Kanmangafuchi

Admirer le pont sacré Shinkyo

Admirer un pont ? oui !

Attention pas n’importe quel pont. Le pont Shinkyo semble tout droit sorti d’un livre d’illustration sur le japon. Je pense qu’on ne peut pas faire plus japonais comme pont (si cette phrase peut avoir un sens).

En tout cas, ma vision du pont typique du japon correspondait complètement au pont Shinkyo.

Un petit dessin vaut mieux qu’un long discours alors voici quelques photos :

Le pont Shinkyo : un pont de bois vermillon au dessus d'un torrent.
Le pont Shinkyo : détail sur la rambarde vermillon
Le pont Shinkyo : un pont de bois vermillon au dessus d'un torrent.

Et quelques précisions : un pont “normal” passe juste à côté. Ce qui permet le passage des voitures (pratique) et pour les piétons, d’admirer le pont tranquillement.

Le pont Shinkyo marque l’entrée du sanctuaire de Nikko et est classé comme trésor national.

Il est possible de passer SUR le pont, mais c’est payant et encore une fois, on le voit mieux en n’étant à côté et pas dessus. (Et oui)

Sachez qu’à l’époque Edo seul le Shogun et les messagers de la cour pouvaient l’emprunter. Donc quelque part le traverser ça a un côté assez classe.

La légende de ce pont est assez grandiose également : le moine Bouddhiste Shôdô Shônin voulait traverser le torrent. Bloqué au bord de la gorge, il invoqua un dieu pour l’aider. Le gardien des eaux apparu alors et envoya deux serpents s’enrouler entre eux au-dessus de la rivière pour créer un pont et permettre au moine de traverser.

Infos pratiques :

Le pont est ouvert de 9h à 16h selon la météo. En fonction des mois l’ouverture peut être avancée à 8h et la fermeture à 17h.

Le coût de la traversée est de 500¥ (environs 3€15).

La visite immanquable de Nikko : le Tosho-gu

Une fois la rivière traversée, je m’enfonce dans la montagne en direction du trésor de Nikko : le sanctuaire de Tosho-gu.

On peut dire que c’est LA visite à faire à Nikko. La région regorge visiblement de trésors à découvrir mais si comme moi votre temps sur place est compté je vous conseille de commencer la visite par ce sanctuaire.

Caché au cœur de la forêt, la visite dévoile trésors sur trésor. Ce qui n’est pas sans rappeler le Daisho-In à Miyajima, une visite dont cet aspect de découverte permanente de choses à voir au fil de la visite m’avait tellement plu !

Au programme de la visite du Tosho-gu : un chaton et des moineaux, des singes, un dragon, un mausolée, des rencontres portugaises, et des superlatifs en série !

Un Torii de bronze dans le Tosho-gu

La pagode

Évidemment qu’il y a une pagode ! En pleine forêt, celle-ci ne se voit pas de loin. Mais elle est pourtant bien là, veillant de ses 5 étages.

La particularité de celle-ci est qu’on peut visiter l’intérieur (moyennant quelques Yen) et ainsi admirer le dispositif antisismique qu’elle renferme.

J’étais largement prête à payer la visite très intéressée par cette opportunité de découvrir l’intérieur de ces monuments qui ont jalonnés mon voyage.

Mais cette dernière était fermée pour cause de Covid.

Vue sur l'entrée de la pagode de Nikko, en bois peint, elle est très colorée.

Si vous avez la chance d’y aller, n’hésitez pas à me partager quelques photos de l’intérieur !

Ma déception sera d’assez courte durée : pas le temps pour les regrets, il y a beaucoup à voir !

Je rentre donc dans le sanctuaire.

Les 3 singes de la sagesse

La première découverte de cette visite sera un bas-relief sur un bâtiment : celui-ci est couvert de petits singes, et au milieu apparaissent les 3 singes de la sagesse.

Vous savez, les 3 singes dont chacun se cache une partie du visage : yeux, oreilles, bouche.

Leur signification est “Ne pas voir le mal, ne pas entendre le mal, ne pas dire le mal” et se veut ainsi une maxime de droiture morale voulant ne pas accepter ni transmettre les mauvaises choses.

Dans notre société, on leur connait une signification plus ironique où on voit dans le comportement des singes une politique de l’autruche.

La représentation de ces singes présente ici est une des plus connue.

Les trois singes de la sagesse de Nikko sur un bas-relief en bois peint.

La porte la plus décorée du Japon

Je continue la visite et arrive devant ce qui est sans doute un des éléments les plus connus de ce sanctuaire : la porte Yomeimon, qui serait la porte la plus décorée du Japon.

C’est, en effet, plutôt… chargé.

Mais elle est honnêtement juste incroyable !

Une légende entoure cette porte : un des 4 piliers la soutenant aurait été volontairement monté à l’envers. La porte se voulait être une représentation de la perfection, or la terminer et atteindre cette perfection aurait porté malheur. Du coup le dernier pilier a été monté à l’envers : La porte est ainsi à tout jamais inachevée, et le mauvais sort est contré.

Je vais être honnête, j’ai cherché le pilier à l’envers sans le trouver, et c’est lorsqu’un guide l’a montré à son groupe juste à côté de moi que j’ai pu l’identifier et effectivement remarquer l’inversion.

Si on ne le sait pas, on ne le voit clairement pas !

la porte Yomeimon en bois peint en blanc et or. Chaque centimètre carré semble décorré.
Détail des décoration de la porte Yomeimon
Détail des décoration de la porte Yomeimon
Détail des décoration de la porte Yomeimon

Pour être complète sur cet article, le sanctuaire enchaine en réalité 3 portes majeures. Je vous parle ici de celle qui m’a le plus marquée, mais les autres valent également le détour.

Sur le côté du sanctuaire, une autre porte, plus discrète, qui ne compte pas dans ces structures majeures, est pourtant tout autant photographiée par les visiteurs. En effet, elle est surplombée par un autre trésor du sanctuaire : le Nemuri Neko

Nemuri Neko, la star de Nikko !

Dans la lignée des 3 singes de la sagesse, un petit chaton de bois sculpté orne le haut de la porte menant au sanctuaire du Shogun.

Le monde se presse pour le photographier, c’est une véritable célébrité.

Pour comprendre sa signification, il faut passer la porte. De l’autre côté, un autre bas-relief représente des moineaux en vol. La signification de ce double symbole serait les forts protégeant les faibles, ou, que les oiseaux peuvent voler librement car le chat est endormi, et si le chat peut dormir c’est que le monde est en paix et n’a plus besoin d’être surveillé.

Dans les deux cas, il s’agit d’un symbole de paix et d’apaisement.

Et il faut avouer que les sculptures sont très jolies ! Le Nemuri Neko est d’ailleurs inscrit comme trésor national.

Et entre sa réputation et son côté très “kawaii”, je comprends tout à fait les nombreuses personnes qui viennent le prendre en photo… Même si ça n’est pas l’élément qui a le plus marqué ma visite.

Le nerumi nekko, un petit chat de bois sculpté semblant endormi. La star de Nikko !
Les deux moineaux en bois sur le haut de la porte.

Mausolée du shogun Tokugawa Ieyasu.

Une fois la porte du Nemuri Neko passée, commence l’ascension vers le mausolée. En effet, ce sanctuaire qui honore la mémoire du shogun et samouraï Tokugawa Ieyasu est aussi le lieu où cette figure historique repose. À l’origine, Tokugawa avait choisis un autre endroit pour sa dernière demeure : l’actuelle Shizuoka. Son petit-fils fit déplacer sa dépouille à Nikko, et c’est ainsi que l’on y peut visiter son mausolée.

Pour atteindre la dernière demeure du shogun, je monte un petit sentier dans la forêt. Rapidement le reste des bâtiments du Tosho-gu s’effacent et ne reste que le calme de la nature. Et tout aussi vite, j’arrive à la fin de mon ascension.

Un bâtiment de bois noir avec des motifs dorés cache une petite cour. Au centre de cette dernière une structure en cuire oxydé. On est loin du faste et des couleurs du reste du sanctuaire. Le contraste est radical.

Et pourtant, on sent qu’on est dans un lieu important et que la sobriété du décor est avant tout une marque de respect et de volonté de rendre l’endroit solennel. (En tout cas je l’ai ressenti ainsi, peut-être que je me trompe complètement)

Mausolée du Shogun à Nikko. On voit le bâtiment de bois sombre avec des décorations dorées.
Mausolée du Shogun à Nikko. On voit l'urne de métal sombre avec la forpet en arrière plan
Mausolée du Shogun à Nikko.  Une porte de bois sombre décorée de dorures. La foret est juste derrière.
L'escalier qui mène au mausolée en pleine foret.

Après avoir fait le tour, j’entame la descente du retour vers le sanctuaire.

Rapidement, les bâtiments émergent d’entre les arbres. Ça me rappelle le Daisho-in à Miyajima et vraiment, je ne me lasse pas de ces vues de bâtiments qui apparaissent entre les arbres !

Hall du dragon

Ma dernière visite marquante dans le sanctuaire du Tosho-gu est le hall du dragon.

Pas de photos de ce dernier, j’ai juste profité de la découverte. Je rentre dans un des bâtiments du sanctuaire. Par chance une visite en anglais est en train de démarrer et on me propose de m’y joindre.

Le guide nous indique l’immense peinture de dragon qui orne le plafond. Ensuite, il prend deux bouts de bois et les claques l’un contre l’autre ce qui produit… et bien le son de deux bouts de bois qui se tapent.

Il nous explique ensuite que cette salle a été construite de telle sorte qu’il est possible de faire rugir le dragon en tapant les bouts de bois au bon endroit.

Et en effet, après s’être déplacé de quelques pas, il réitère sa manipulation avec les bois et cette fois le son est tout autre. Une vibration sonore semble venir de partout, le dragon rugit !

Des statues de dragon à Nikko. Je pense me souvenir qu'il s'agit d'un détail de la porte Yomeimon

Se promener dans le Tosho-gu

Je suis loin d’avoir eu le temps de tout voir dans le Tosho-gu. Mais avec une seule journée à Nikko, et en ayant une autre visite qui me tenait à cœur, ce sont les éléments que j’ai eu l’occasion de voir.

Ceci dit, même sans avoir fait d’autres visites, j’ai aussi passé beaucoup de temps à juste admirer ce sanctuaire incroyable. Ce ça soit les bâtiments richement décorés qui regorgent de détails, ou des éléments éparses un peu cachés, on ne manque pas de choses à découvrir au fil de la visite.

Une dernière petite mention spéciale aux nombreuses lanternes de type européennes qui apparaissent à plusieurs endroit, fruits d’échanges entre le Portugal et le Japon.

Le mur d'un batiment du sanctuaire de Nikko. Le tout est couvert de bois sculpté et peint formant des bas reliefs de couleurs vives. Devant le mur se trouve une rangée de lanternes de pierre.
Détail d'un batiment du sanctuaire de Nikko. On retrouve de beaux bas reliefs mais les couleurs sont plus sobres.
Un bâtiment du sanctuaire, assez classique dans son apparence.
Détail d'une sous-toiture d'un bâtiment du sanctuaire. Les poutres sont couvertes de motifs géométriques peints de couleurs vives. Une d'elle se termine en formant une tête de dragon sculptée.
Une lanterne portugaise en métal dans le parc de Nikko.

Promenades dans l’abysse de Kanmangafuchi

Après ma visite de Nikko, je pars en direction de la rivière. L’autre visite qui me tient à cœur et que j’ai repéré avant mon départ au japon est l’abysse de Kanmangafuchi. Un nom bien mystérieux !

J’ai un peu du mal à trouver l’endroit, mais après quelques minutes de marche, je fini par arriver à destination.

Il s’agit d’un petit sentier qui longe le torrent. Enfin… le torrent se trouve au fond d’une petite gorge (d’où le nom d’abysse).

Un chemin pavé mène vers un portal en bois au milieu des arbres.

Evidement le cadre est très sympa, mais ce que je suis venue voir c’était le sentier et ses mystérieuses statues.

En effet, le chemin est bordé de statues Jizo (une divinité bouddhiste) vêtues de bonnets de laine rouge.

La légende raconte que les statues s’amusent à bouger et qu’il est impossible de compter le même nombre à l’aller et au retour. D’où leur surnom de « Bake Jizo », les Jizo fantômes.

Le bouddha Jizo est le protecteur des voyageurs et des enfants (en particulier les enfants morts jeunes). Je vous renvois vers cet article de Japan Experience qui traite ce sujet et est très intéressant, si vous souhaitez en apprendre plus.

Bien évidemment, j’essaie de compter les statues et bien sûr je n’ai pas le même compte.

Bon si je dois être honnête, entre les prises de photos (le lieu a une ambiance de fou avec ces statues) qui me déconcentraient de mon comptage et le fait que certaines statures soient en très (très) mauvais état (les deux pierres ici ça compte pour 1 ou pour 2) c’était difficile d’être vraiment consciencieuses dans la réalisation de cet exercice.

Précision : Ces statues sont connues pour être celles qui ont survécu à une crue historique. D’où l’état érodé de certaines !

Bref un petit coin plus calme que le Tosho-gu (j’étais seule à visiter les abysses en cette fin d’après-midi) mais je ne regrette pas d’y être allée. J’ai pu voir quelque chose d’un peu différent.

En bonus, pour retourner vers la gare de Nikko depuis l’abysse, je longe le torrent. La lumière prenait sa couleur dorée de fin de journée, c’était là aussi bien joli !

Note : lors de mon passage le sentier était fermé après le passage bordé de statues. En continuant lorsqu’il est ouvert on peut arriver à un sanctuaire.

Une statue de bouddha Jizo avec son bonnet de laine rouge et son bavoir assorti.
Le chemin des abysse, on devine sur le côté la rangée de statues.
Gros plan sur le visage d'une statue de bouddha Jizo avec son bonnet de laine rouge.
La rangée de statues de l'abysse.
Vue sur la rivière de Nikko. La végétation autour est brune, sans feuilles, le printemps n'est pas encore là.
Vue sur le torrent, on devine que le courant doit être assez fort en voyant les remous dans l'eau.

Où manger à Nikko ?

À midi, j’ai mangé au restaurant Saranku. (allez en bas de page pour traduire le site en français)

L’avantage est qu’il est très proche du parc et des grands sites. En vrai il y avait des restaurants dans le parc, mais je trouvais les prix un peu élevés. En 5 minutes de marche, j’ai trouvé cette petite adresse. Mais soyons honnête, ça ne sont pas les restaurants qui manquent dans le coin !

Le revers de la médaille est que pour retourner dans le parc continuer les visites, ça monte ! (Alors que j’avais juste envie de me poser et faire une sieste…)

Mais c’est vraiment pinailler que de râler juste pour ça !

D’autres choses à faire à Nikko ?

HO-QUE-OUI !!!

Je ne vais vous mentir, une journée c’est trop peu !

Dans un monde idéal j’aurais aimé pouvoir passer 2 (voir 3) jours sur place :

Une journée complète (voir un peu plus) pour visiter les sites majeurs.

Ensuite pouvoir faire une ou plusieurs promenades dans la région. Il y a notamment une cascade assez connue que l’on peut aller admirer. Et Nikko est littéralement à l’entrée d’un parc naturel qui a juste l’air magnifique !

Se rendre à Nikko depuis Tokyo avec le JR pass

Il est bien sûr possible de rejoindre Nikko depuis Tokyo en utilisant le JR pass.

Le trajet n’est cependant pas direct, il faudra effectuer un changement en gare d’Utsunomiya. De là un train local vous emmènera jusqu’à Nikko.

Il s’agit de l’option la plus simple et la plus rapide.

Comptez 2 bonnes heures de trajet. (Ce qui fait 4h l’aller-retour). Vous comprenez que le temps sur place est vite compté !

Il est bien sûr possible de dormir à Nikko. Même si la ville ne fait pas partie des visites classiques, la destination reste très touristique et il y a donc une belle offre de logements.

Réserver un JR Pass

Trouver un logement à Nikko

Le torii qui marque l'entrée du Tosho-gu dans le parc de Nikko. Il est entouré de hauts arbres.

Infos pratiques

Le pont Shinkyo

Le pont est ouvert de 9h à 16h selon la météo. Selon les mois l’ouverture peut être avancée à 8h et la fermeture à 17h.

Le coût de la traversée est de 500¥ (environs 3€15)

Site officiel (en japonais)

Le sanctuaire Tosho-gu

Le Tosho-gu est ouvert de 9h à 17h. (fermeture à 16 entre novembre et mars)

L’entrée coute 1300¥ (environs 8€30)

Site officiel (en japonais)

Les abysses de Kanmangafuchi

L’accès aux abysses est libre et gratuit.

Site officiel (en japonais)

Pour organiser mon voyage et une fois sur place (trouver des restos, des visites supplémentaires,…) je prends toujours un guide papier avec moi. En cas de panne de téléphone c’est bien pratique.

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6 Commentaire(s)

  • avatar de Saveria

    Saveria - 26/01/2024

    Magnifique article, et les photos !!! On envisage un voyage au Japon pour 2025, mais à 4 les prix des vols ça calme. En tout cas, c’est vraiment le genre de visite qui me fait rêver. Ces statues fantômes avec leur bonnet, j’adore.

    • avatar de Puce

      Puce - 26/01/2024

      Merci !
      Le Japon globalement, c’est un sacré budget!
      Au vol il faut souvent compter aussi un JR Pass si on veut bouger un peu dans le pays, ce qui pique un peu aussi.
      Je te souhaite de pouvoir y aller prochainement ! 🙂
      Et si tu aimes ce genre de visites, tu ne devrais pas être déçue. Il y a plein de petits coins un peu cachés, des tas d’endroits avec des légendes, etc. .

  • avatar de Charly

    Charly - 26/01/2024

    Je découvre cette ville qui, je pense, me plairait énormément. De manière générale, j’aimerais beaucoup passer du temps au Japon. Sa culture et ses paysages m’ont toujours attirée. Un jour, j’irai !

    • avatar de Puce

      Puce - 26/01/2024

      Je te le souhaite sincèrement ! 🙂
      C’est vraiment un des voyages qui m’a le plus marquée !

  • avatar de Renée

    Renée - 30/01/2024

    J’ai adoré Nikko. Ces temples dans la montagne font partie des plus beaux endroits que j’ai visités. J’y avais passé 2 jours : 1 sur Nikko puis 1 dans le parc national. Les paysages sont superbes, la rando facile. Ça fait du bien de faire un break en montagne et de sortir de l’agitation de Tokyo !

    • avatar de Puce

      Puce - 31/01/2024

      Je t’envie pour la rando dans le parc ! *_*
      J’ai été frustrée de ne pas avoir le temps d’aller. 😀