
5 visites près de Kyoto : mes coups de cœur pour explorer les environs
Lors de mon passage dans la région, j’avais prévu de rester suffisamment longtemps pour pouvoir faire plusieurs visites autour de Kyoto.
J’avais décidé de passer une petite semaine sur place. Ce qui m’a laissé le temps d’en prendre plein les yeux… et même de regretter de ne pas pouvoir rester plus longtemps.
Si vous avez déjà lu mon article sur Kyoto, vous savez que la ville foisonne de visites incroyables. Eh bien les alentours ne sont pas en reste !
On y trouve de véritables joyaux, et des vues hyper connues du Japon.

Je suis certes restée dans des visites très classiques, mais j’avais beaucoup trop envie de voir ces “incontournables”. Même si je n’ai aucun regret de ce choix, le Fushimi Inari fut une vraie claque, je pense que le moment que j’ai préféré fut de m’éloigner des circuits traditionnels et aller me perdre à pied en direction de Takao.
- Le Fushimi Inari Taisha, la carte postale à côté de Kyoto
- Arashiyama et sa foret de bambous, entre sérénité et foule
- Le parc Kameyama, une escapade nature à deux pas de Kyoto
- Découvrir le temple Adashino Nenbutsuji, le temple aux 8000 statues bouddhiques
- Promenade vers Takao, un bain de nature loin de la foule
- Bonus : prendre un train et aller découvrir Nara et ses cerfs sacrés
Si le cœur vous en dit, vous pouvez également écouter l’épisode de Partir un jour, mon podcast voyage qui parle de Kyoto et sa région :

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Pourquoi explorer les alentours de Kyoto ?
Kyoto et sa région sont vraiment riches en visites et lieux à découvrir.
En une semaine et sans pouvoir visiter aucun musée (ils étaient fermés pour cause de Covid), j’ai eu un sentiment de trop peu !
Si Kyoto ne manque pas de visites pour remplir quelques jours, je ne peux que vous conseiller de vous renseigner sur sa région avant d’arrêter votre planning.
Entre sites incontournables et trésors cachés, les visites autour de cette ville auront certainement de quoi vous émerveiller !
Cet article vous propose un mélange entre lieux emblématiques du Japon et flâneries « hors des sentiers battus ».

Le Fushimi Inari Taisha, la carte postale à côté de Kyoto
On va directement attaquer avec sans doute LA visite dans la région de Kyoto.
Parmi les images d’Epinal du Japon, ce sanctuaire occupe une très bonne place si ce n’est la première.
Le Fushimi Inari Taisha, surnommé le sanctuaire aux 10 000 Toriis, n’est rien de moins que le plus grand sanctuaire Shinto du Japon. Mais ce dernier doit sa renommée au sentier bordé de Torii qui le parcours… Enfin, bordé de milliers de toriis.
C’est probablement un des lieux les plus emblématiques du japon.



Evidement c’est très très très touristique : un lieu connu étant aussi un spot Instagram incroyable… Imaginez la foule !
C’est pourquoi on lit souvent d’essayer d’y aller tôt le matin ou tard le soir.
Mais Kyoto est tellement touristique que même à ces heures, la foule est présente.
Enfin, un endroit en particulier, LE point soi-disant à prendre en photo : au début du chemin des Toriis il y a un endroit où le parcours se divise en deux, offrant une vue très singulière des portiques partant dans deux directions différentes.
Je n’ai pas eu la patience de le prendre en photo, oui, cet embranchement est joli et original, mais franchement, le reste du sanctuaire est tout aussi incroyable. Et j’ai préféré ne pas perdre de temps au spot insta et aller profiter du reste du site !
En revanche, le site est sur une colline, alors ça monte un peu.
Et plus on monte, moins il y a de monde.
Le parcours arrive assez vite à un petit palier avec une boutique et un point de vue. La plupart des personnes ayant continué le chemin s’arrêtent ici et redescendent.
Mais le sanctuaire continue en réalité beaucoup plus loin et fait toute une boucle dans la montagne.

Si vous avez une petite heure de libre, et la condition physique pour faire cette marche, je ne peux que vous conseiller de la faire !
L’ambiance est incroyable, et au cœur de la montagne il est possible de se retrouver à plusieurs reprises complètement seul au milieu des Toriis. (en tout cas ça semble toujours possible)
Le long du chemin, on croise régulièrement des petits sanctuaires. C’est toujours très beau, avec un côté un peu magique.
J’avais complètement l’impression d’être dans un film de Miyazaki.
Le Fushimi Inari a vraiment été un coup de cœur total ! Ce genre d’esthétisme c’est complètement mon truc, donc vraiment j’ai adoré.
Je ne peux évidemment pas vous promettre que ça sera votre cas, mais je ne peux que vous conseiller d’aller au moins y faire un tour.
Petit regret toutefois, apparemment il y a un petit sanctuaire dédié aux grenouilles à un saut de puce de là et je l’ai loupé. Si ça vous intéresse, cherchez le Araki Frog Shrine sur google pour le trouver. (ça a l’air trop adorable !)
-> Vers le site officiel du Fushimi Inari Taisha (anglais)









Arashiyama et sa foret de bambous, entre sérénité et foule
Un autre lieu très connu de la périphérie de Kyoto est la forêt de bambous d’Arashiyama.
Par contre ici, ce fut pour moi l’exact opposé au Fushimi : là où le sanctuaire aux 10 000 toriis m’avait charmée malgré la foule, à Arashiyama cette dernière m’a franchement oppressée et je n’ai pas réussi à passer outre.
Un sentier d’environ 500 mètres permet de parcourir cette célèbre bambouseraie. Mais ce dernier est couvert de trépieds et perches à selfies. Tout le long du chemin on slalome entre les personnes prenant la pose et celles se filmant en parlant à leur caméra. Pour moi, la définition de l’enfer.
En levant les yeux on peut tenter de s’évader loin de cette frénésie : regarder le soleil entre les feuilles, les arbres s’élançant droit vers le ciel et leur ballet au gré du vent. Le son aussi est marquant, le bruissement des feuilles se partage aux “poc” des troncs s’entrechoquant.




Oui, si on arrive à s’isoler (métaphoriquement) de la foule, Arashiyama est incroyable.
C’est pourquoi je ne peux pas vous conseiller de complètement l’éviter.
(je vous rappelle que j’ai visité le Japon lors du Covid, et qu’il y avait vraiment peu de monde, donc par rapport à aujourd’hui il n’y a PERSONNE sur mes photos)
Enfin, sachez que si vous tenez à voir une bambouseraie sans faire de fixation sur celle d’Arashiyama, il y en a d’autres que vous pourrez facilement visiter en vous épargnant un trajet jusque là, comme par exemple celle du Todai-ji. Elle sera tout aussi fréquentée, mais a le bon goût de faire partie d’une jolie visite à Kyoto. D’autres sont un peu cachées, j’en ai d’ailleurs découvert une complètement par hasard et je vous en parle plus loin dans cet article.
Mais Arashiyama reste une image symbolique du Japon. Si vous tenez à la voir, je vous conseillerais d’y passer en allant faire d’autres visites dans le coin.
Et justement parlons d’autres visites dans le coin !
Le parc Kameyama, une escapade nature à Arashiyama
En réalité je n’ai pas commencé ma visite par la bambouseraie. En descendant du train, j’ai pris le chemin des écoliers et j’ai flâné un moment le long de la rivière Katsura et du parc Kameyama.
La rivière Katsura est un endroit très prisé des visiteurs japonais. Surtout durant la période des sakuras (les cerisiers en fleur), et celle des momiji (les feuilles d’érable colorées à l’automne). Le cours d’eau bordé de ces arbres offres de nombreuses vues magnifiques à ces périodes de l’année. Mais de ce que j’en ai vu, le cadre à lui seul est superbe.
Il est ainsi possible de faire des tours en bateau pour profiter de l’endroit et je vous avoue que je n’étais pas loin de me laisser tenter.
La seule chose qui m’a retenue c’est que j’avais prévu tout un itinéraire vers Takao pour cette journée et je n’avais pas le temps pour un tour en barque. (J’attendais cette découverte de Takao avec impatience !)
Un des points notables de l’endroit est le pont Togetsukyo, qui offre un joli panorama sur la rivière et sa vallée. Sa construction initiale daterait de 836, un vrai monument historique… Même s’il a subi de nombreux changements, adaptations et renforcements depuis cette époque.
Le pont est très touristique. Selon la gare à laquelle vous arriverez, il est un passage obligé pour rallier la bambouseraie. Si vous n’avez rien contre une petite marche, je vous conseille de faire comme moi et de prendre la “Hankyu Arashiyama Line” vers la gare d’Arashiyama.
Après avoir profité un moment de la vue, je bifurque vers la colline toute proche et le parc Kameyama.
Arrivée au sommet, des points de vue permettent d’admirer la vue sur la rivière. (C’est toujours aussi beau !)
J’aperçois en contrebas la ligne de chemin de fer, et vois même passer le train.
Cette promenade dans la nature m’a beaucoup plu ! (Bien plus que la bambouseraie, vous vous en doutez.)




Découvrir le temple Adashino Nenbutsuji, le temple aux 8000 statues bouddhiques
Après la visite d’Arashiyama, mon objectif était de monter jusqu’à Takao à pied. L’occasion de faire une découverte un peu originale avec une promenade qui mêle quartiers périphériques de Kyoto, campagne et nature.
J’ai beaucoup aimé marcher dans ces quartiers et découvrir une nouvelle facette du Japon avec des zones plus résidentielles et moins touristiques.
C’est durant cette promenade que je suis tombée complètement par hasard sur le temple Adashino Nenbutsuji.
En marchant dans une rue, j’ai aperçu un chemin qui remontait vers ce qui semblait un guichet d’entrée. J’aime les visites imprévues, j’ai donc regardé rapidement sur mon téléphone où j’étais exactement. Ce que j’ai vu ne m’a pas fait hésité longtemps et j’ai rapidement rangé guide et téléphone pour monter prendre une entrée pour ce petit temple.
Aujourd’hui c’est malheureusement devenu un spot Instagram : le temple ayant une petite bambouseraie, des visiteurs délaissent Arashiyama pour se rendre dans cette dernière.
C’est malheureux car le site est juste incroyable.
Il s’agit d’un temple dans l’enceinte duquel sont disposées environs 8000 statues bouddhiques, dont certaines datent de l’antiquité japonaise.
Le temple est en réalité plus récent que ses statues les plus anciennes. Il a été construit pour rassembler ces sépultures, chaque statue représente en une âme oubliée.
Le lieu est donc très sacré et il est demandé aux visiteurs de respecter l’aspect méditatif du lieu et donc de faire la visite dans le silence et le calme. Si les photos sont autorisées dans les lieux périphériques, elles sont cependant interdites dans l’enceinte centrale où sont rassemblées les statues.
Cette zone s’appelle Sai’in no Kawara, je n’ai même pas osé y entrer par peur de faire un impair. D’autant qu’on peut très bien l’admirer depuis son pourtour.
La petite bambouseraie du temple
Un peu plus loin, la petite bambouseraie dont je vous parlais. Elle est parcourue d’un sentier qui permet de rejoindre le cimetière moderne.
Elle n’est pas toujours accessible, mais j’ai eu la chance de pouvoir la parcourir.
Cette bambouseraie est beaucoup plus courte que celle d’Arashiyama, quelques dizaines de mètres contre quelques centaines à Arashiyama, mais elle m’a permis de momentanément me perdre dans la beauté des bambous.
Comme je vous le disais, le lieu est désormais bien connu, et de nombreuses personnes se rendent à l’Adashino Nenbutsuji dans l’espoir de faire le shooting photo qu’il n’ont pas pu faire à Arashiyama.
Cette démarche est totalement contraire à l’esprit du temple qui insiste pour que les visiteurs adoptent une démarche méditative et contemplative en son enceinte.
-> Vers le site officiel de l’Adashino Nenbutsuji (anglais)








Promenade vers Takao, un bain de nature loin de la foule
Quand on parle de se promener à Takao, on pense en premier lieu à l’ascension du mont Takao, qui est une promenade HYPER connue. Le mont Takao serait la montagne la plus escaladée du monde !
Mais non, ce n’est pas cette balade que j’ai effectuée. D’ailleurs le Mont Takao est à côté de Tokyo et ici on parle de Kyoto !
Il s’agit ici d’un petit village éponyme proche de Tokyo. J’avais lu un article sur ce village et une promenade “hors des sentiers battus” sur le blog Arpenter le chemin (Cliquez ici pour lire son article). Et j’étais bien décidée à suivre cet itinéraire qui avait l’air si incroyable.
Le premier défi fut de rejoindre le début de la promenade depuis Arashiyama. Sur le papier ça ne me semblait pas bien compliqué, dans les faits, je me suis retrouvée à marcher le long d’une route bien passante… pas du tout confort pour se promener. Ça commençait donc plutôt mal, mais la suite a largement rattrapé ce début laborieux et si vous cherchez une randonnée dans la nature proche de Kyoto, c’est un super choix !
Je vous conseillerais de ne pas faire comme moi et de suivre l’itinéraire proposé par d’Arpenter le chemin et d’ainsi prendre le train jusqu’à la gare de Hozukyô, ce qui vous évitera ce passage routier.
Dans tous les cas, pensez à avoir une carte et/ou un GPS et de bien repérer votre itinéraire avant de vous lancer. (Parce que même comme ça, ça n’est pas simple !)
Le long de la rivière
De mon côté, je fini par atteindre le début de la promenade à proprement parler. Je quitte la route et m’élance sur le petit sentier longeant la rivière.
Arrivée au premier embranchement, j’hésite. Un marcheur japonais vient à ma rescousse et m’indique le chemin de Takao. Je mémorise la série de Kanji écrivant ce nom : (et le prend en photo au cas où) et je repars.

Le chemin est magnifique, il longe une rivière, dans une petite vallée entourée d’arbre.
Je ne peux m’empêcher de m’arrêter tous les 10 mètres pour admirer la vue (et prendre quelques photos).
Je suis convaincue qu’à force de visiter des temples et sanctuaires et de baigner dans leur atmosphère de calme et de sérénité, je suis plus à même d’apprécier la nature. J’admire chaque détail le long du chemin, m’émerveille à tous les méandres de la rivière.
Je suis sous le charme.
À tel point que je n’avance pas du tout, et je réalise que l’heure avance (contrairement à moi) et que le dernier bus pour retourner à Kyoto approche.
Je range donc mon appareil photo et presse le pas sur la fin de la randonnée.
Finalement le pont suspendu annonçant l’arrivée à Takao apparait. Je suis 10 minutes avant le bus, rassurée je vais me poser.
Je n’aurais qu’un aperçu de Takao, et je regrette vraiment de ne pas avoir eu plus de temps à y consacrer. On y trouve 3 temples assez réputés et plusieurs promenades.
À refaire je consacrerais au moins une journée à Takao (si pas deux !).
Pour ce qui est de la promenade pour rejoindre Takao, en partant d’Arashiyama après avoir mangé, et en m’étant arrêtée au temple Adashino Nenbutsuji, je suis arrivée à Takao vers 17h00. Sachant que je n’ai vraiment par marché vite.






Prendre un train et aller découvrir Nara et ses cerfs sacrés
Je vous ai déjà parlé de Nara dans un article dédié à cette petite ville.
Que vous soyez à Osaka ou à Kyoto, si vous avez le temps, Nara est vraiment une belle ville à découvrir.
Une journée suffit pour voir les éléments principaux, deux si vous avez envie de prendre votre temps et de ne rien rater.
Pour ma part, j’ai coupé la poire en deux en y arrivant en fin d’après-midi et en passant deux nuit sur place pour disposer d’une journée complète (+ le rab lors de mon arrivée).
Le premier élément, et sans doute le plus connu, de Nara ce sont ses cerfs sacrés. Ils sont en liberté dans le parc de la ville et viennent saluer les visiteurs dans l’espoir de recevoir une des friandises pouvant être achetée à leur attention un peu partout.
Outre les cerfs, le parc de Nara comprend plusieurs visites intéressantes (temples et sanctuaires comme d’habitude). Vous pouvez également vous promener dans la forêt ou visiter une maison traditionnelle, une Machiya, dans la vielle ville.
Pour ma part les visites que je retiens principalement sont le Daibutsu de Nara et le sanctuaire Kasuga Taisha.
Le Daibutsu de Nara est une statue de bouddha géant absolument magnifique.
Le sanctuaire Kasuga Taisha, quant à lui, est surnommé le sanctuaire aux lanternes. À ses abords, des centaines de lanternes de pierres couvertes de mousse sont disséminées le long des chemins. L’ambiance est incroyable !
Je vous invite à lire mon article sur la visite de Nara pour en apprendre plus, et découvrir les autres visites de la ville.



Comment se rendre de Kyoto à Nara
En train bien sûr ! Surtout si vous avez un JR pass. Une des lignes qui relie Kyoto à Nara est desservie par la compagnie JR, votre pass est donc valable dessus.
Il s’agit de la Nara Line. Ça n’est pas la solution la plus rapide, mais c’est la plus simple car elle ne nécessite pas de changement.
Vous rejoindrez la gare de Nara en une heure, et sans le pass le trajet coûte 720¥.
Petit rappel si vous avez un JR pass : lorsque vous prenez le bus et le train, même en dehors des lignes de Shinkansen, pensez à regarder si le trajet est opéré par JR : vous pourrez économiser quelques billets
Il y a plus de transports qui rentrent dans le pass que l’on croit. Et même si l’intérêt de base est de faire des grands trajets via le train à grande vitesse, on ne boude pas son plaisir de faire des petits déplacements avec !
Préparez votre itinéraire autour de Kyoto
Je vous ai présenté les visites que j’ai eu la chance de faire autour de Kyoto. Mais je vous avoue que j’ai du faire des choix parfois draconiens, et ce ne sont pas les idées qui manquent si je devais retourner dans cette région.
À commencer par la visite des temples de Takao que j’ai mentionné dans l’article.
Il y a également les plantations de thé de la région d’Uji pas très éloignée.
Le lac Biwa, des Onsens reculés et charmants,…
Vraiment ce ne sont pas les idées de visites qui manquent de la région, mais plutôt le temps !
Je vous invite vivement à prendre le temps de vous renseigner avant d’arrêter votre choix de visites, et de réfléchir au nombre de jours que vous souhaitez passer dans la région.
Où dormir à Kyoto ?
Lors de mon séjour à Kyoto, j’ai séjourné à la Gion Guesthouse IKKUU.
Une chouette petite guesthouse, bien que un peu spartiate.
Ses points positifs sont sa localisation : on est proche de pas mal de visites importantes de la ville, et on peut rapidement trouver un arrêt de bus pour rejoindre la gare et rayonner vers les lieux présentés dans cet article.
Et il s’agit d’une maison traditionnelle avec le charme qui va avec… mais aussi les inconvénients : sanitaires communs, pas de chauffage en dehors des chambres, pas de possibilité de petit déjeuner,…

Sinon ce ne sont pas les options qui manquent pour trouver un logement à Kyoto :
Note : Cet article contient des liens d’affiliation. Si vous effectuez un achat via ces liens, je touche une commission, et c’est évidement sans coût supplémentaire pour vous !